28/01/2014

TIGRAN HAMASYAN EN TOURNEE - PARIS LE 13 FEVRIER



TIGRAN Nouvel Album
SHADOW THEATER
SORTIE LE 26 AOUT 2013

En concert : le jeudi 13 février 2014 à 20h00
  • à La Gaîté LyriqueRue Papin 75002 Paris





Avec la publication de son premier album en
solo en janvier 2011 (A fable – Verve), Tigran
Hamasyan s’est définitivement révélé à tous
comme le compositeur incontournable de ces
prochaines années.

Météorite du jazz contemporain, n’hésitant
pas à marier musiques classiques et
contemporaines, airs traditionnels et rock, le
jeune Arménien, bardé des prix internationaux
les plus prestigieux, nous présente un album
inclassable en quintet. « Shadow Theater »
frappe fort ! Un album que nous vous laissons
découvrir.

Depuis ses tout débuts, Tigran Hamsayan
semble être habité par l’idée d’ouvrir au
maximum son spectre musical.

Avec la publication de son premier album en
solo en janvier 2011 (A fable – Verve), Tigran
Hamasyan s’est définitivement révélé à tous
comme le compositeur incontournable de ces
prochaines années.

Météorite du jazz contemporain, n’hésitant
pas à marier musiques classiques et
contemporaines, airs traditionnels et rock, le
jeune Arménien, bardé des prix internationaux
les plus prestigieux, nous présente un album
inclassable en quintet. « Shadow Theater »
frappe fort ! Un album que nous vous laissons
découvrir.

Depuis ses tout débuts, Tigran Hamsayan
semble être habité par l’idée d’ouvrir au
maximum son spectre musical.

Trois ans plus tard, le garçon opérait encore
une nouvelle mue. Sur A Fable, il se
présentait dans le plus simple appareil : en
duo avec son piano. Au menu, des éclats de
pop minimaliste, des mélodies de sa patrie
natale et des relectures habitées de standards
tel Someday My Prince Will Come. Et
nouveauté, Tigran donnait de la voix sur
quelques pistes. Plébiscité aux quatre coins
du monde, l’opus remporta une Victoire de la
Musique.

Avec Shadow Theater, le pianiste poursuit
son entreprise de construction massive. Après
a v o i r e x p l o r é l ’ u n i v e r s d e s f a b l e s
arméniennes, c’est dans une autre tradition,
plus visuelle qu’orale, qu’il puise son
inspiration.

Ce Shadow Theater qui sert de titre de
baptême au disque, il faut l’entendre comme
une invitation à passer de l’autre côté du
miroir, dans un monde imaginaire et onirique
qui doit autant à Tim Burton qu’à la tradition
du « théâtre d’ombres » : un art en apparence
simple où des silhouettes s’animent par magie
derrière une toile. « Un monde minimal et
faux, mais qui exprime la vérité à travers ce
mensonge » confie Tigran. Également limpide
en apparence, Shadow Theater regorge de
dizaines de figurines qui habitent la tête du
pianiste, de Madlib à Sigur Rós en passant
par Steve Reich.

Avec ce disque le jeune arménien explore
encore de nouvelles pistes tout autant
électroniques que soniques et s’affirme
comme un ébouriffant songwriter doublé d’un
chanteur au timbre fragile.

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Un article à lire sur LaCroix.com :

Le jazzman Tigran Hamasyan offre une ode à l’Arménie
À 26 ans, le pianiste et compositeur aborde une grande tournée française tout en préparant de nouveaux projets, à un an du centenaire du génocide arménien.
23/1/14 - 17 H 42
Son album Shadow Theater (Verve/Universal), enregistré en quintet et sorti fin août, reste une pièce majeure de la production jazz de l’année.
Lui-même fut confirmé à cette occasion dans son statut de musicien surdoué, et de compositeur baroque, osant les terrains vertigineux et rompant les digues entre les genres… Sur scène, agile comme le félin, Tigran ne joue pas « du » piano mais « avec » lui, dompte ou caresse le clavier, ce « meilleur ami avec lequel je passe des heures chaque jour », explique-t-il.

UN DISQUE QUI LE RELIE À SES RACINES


 Shadow Theater, aux chants remplis de poésie arménienne, est d’abord un disque qui le relie à ses racines. Né il y a 26 ans à Gyumri, près de la frontière turque, avant de déménager à Erevan à 10 ans, ce fils d’un bijoutier et d’une créatrice de vêtements entraîne son « petit pays » dans une modernité où s’entremêlent poésie et rock, jazz et tradition, folklore et sacré…« Si nous y allions ensemble demain, je vous emmènerais dans les églises où se ressentent l’énergie du pays et son ancrage, et où j’aime jouer plus que partout ailleurs », confie Tigran Hamasyan.
Le musicien devenu star internationale et admiré par les plus grands, de Herbie Hancock à Chick Corea, se prépare à concrétiser un projet qui le rapproche plus encore de ses origines :« En 2015, pour le centenaire du génocide, je souhaite donner cent concerts dans des églises arméniennes du monde entier. Ce sera forcément différent de ce que j’ai fait jusqu’ici », promet-il.

EVOQUER LA MÉMOIRE DE SES AÏEUX


Depuis que s’est installée sa notoriété, Tigran se sent « ambassadeur » de son pays, prêt, le cas échéant, à évoquer la mémoire de ses aïeux qui n’ont pas été épargnés en 1915. « En parler est encore nouveau pour moi, je dois m’y préparer », admet-il en souriant. 
 Shadow Theater lui permet d’évoquer une autre facette du pays, le théâtre d’ombres, un art toujours populaire : « Ses images m’ont inspiré dès l’enfance. Je reste fasciné en voyant que les spectateurs paient cher pour assister à un spectacle d’illusions, qu’ils y viennent avec ce besoin d’y croire. La musique me permet d’entretenir la même relation, et d’invoquer les ombres parmi nous… » 
Les douze pièces de l’album constituent encore l’une des premières pierres d’une œuvre ébauchée dès 2006 – année de son premier prix au concours du Thelonious Monk Institute of Jazz« J’avais presque 20 ans, je cessais d’être perçu comme un enfant prodige et je pouvais me consacrer à ce que je voulais laisser. » Il fonde trois ans plus tard un quintet, Aratta Rebirth, avec lequel il mêle jazz fusion, tradition arménienne et metal. On le retrouve minimaliste sur A Fable en 2011, en piano-voix, ajoutant à son arc la corde du chant, que l’on retrouve sur Shadow Theater. Chantier en construction…
En concert le 31 janvier 2014 à Lyon, le 1er  février à Sannois (95), le 2 à La Rochelle, le 8 à Massy (91), le 11 à Colombes (92), le 12 à Soissons, le 13 à Paris (Gaîté-Lyrique), le 14 à Nice…
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